Les réseaux 2G et 3G vont progressivement disparaître en France d’ici 2029. Voici pourquoi cela se passe… et ce que ça change pour vous.

Pourquoi ces réseaux s’arrêtent ?

• Les opérateurs télécoms comme Orange, SFR et Bouygues Telecom mettent fin à la 2G et à la 3G pour plusieurs raisons :
• Faire de la place à la 4G et la 5G : Ces technologies plus récentes sont plus rapides, plus fiables, et permettent une meilleure qualité de service.
• Réduire la consommation d’énergie : Les réseaux 4G et 5G sont moins gourmands en électricité, donc plus écologiques.
• Entretenir des réseaux plus modernes : La 2G et la 3G sont devenues obsolètes et coûteuses à maintenir.
• Répondre aux nouveaux usages : Les besoins en connexion rapide et stable ne cessent d’augmenter, et les anciens réseaux ne suivent plus.

C’est une évolution vers des infrastructures plus efficaces et durables.

Quand cela va-t-il arriver ?

La fin des réseaux se fera progressivement entre 2025 et 2029, selon les opérateurs :

• Orange : fin de la 2G en 2025, fin de la 3G en 2028
• SFR et Bouygues Telecom : un calendrier similaire est prévu

Qui est concerné ?

Pour les particuliers :

• Si vous utilisez encore un téléphone uniquement compatible 2G ou 3G, il faudra penser à passer à un modèle 4G ou 5G.
• Les zones rurales moins bien couvertes en 4G/5G pourraient aussi être temporairement impactées.

Pour les entreprises :

• Les équipements connectés (IoT), comme certains compteurs ou capteurs, devront être mis à jour.
• Cela peut représenter un coût, mais ces nouvelles technologies offrent plus de performance, de sécurité et une meilleure efficacité énergétique.

Quels impacts à prévoir ?

• Dans les zones rurales : la couverture 4G/5G n’est pas toujours suffisante, ce qui peut entraîner des coupures ou une perte de service.
• Changement d’équipement nécessaire : que ce soit pour un téléphone, un capteur, ou un système de téléassistance, certains appareils devront être remplacés.
• Adaptation des services essentiels : certains systèmes d’alerte ou de santé à distance utilisent encore ces anciens réseaux. Des mises à jour seront nécessaires.
• Bonne nouvelle : les opérateurs et les pouvoirs publics travaillent déjà pour améliorer la couverture des réseaux modernes et limiter les désagréments.